Tekst:
Thomas Fersen La Cigale Des Grands Jours

etre heureux comme un pape, J'ai un noeud pap', J'suis invite, Moi qui aime trainer la savate, Les belles cravates Et l'oisivete, Et discuter du grand

dans son lit. Soit je ne suis pas un moine, J'dissipe mon patrimoine Dans ce bar un peu glauque, Ma voix est dev'nue rauque A la suite des abus Mais

cigarette, J'imagine un cigare qui fume, Une patisserie qui vaut l'detour, Une danseuse avec une plume Dans la pice montee des grands jours Elle: Pourvue

Tes levres, Louise Sont des portes d'eglise Ou j'entre le matin Le chapeau a la main Tes levres, Louise Penses-tu ce qu'elles me disent ? Ou c'est du

Elle est venue faire son toit Dans la robe de bois De mon harmonium, Comme elle est mignonne. "rititi, ratata" Dans mon harmonium, Y'a une araignee enorme, Je lui joue des

sur une chaise Car elle est plus grande que moi, Faudrait que j'monte sur une chaise, Ca va mieux quand elle s'asseoit. J'suis comme au pied d'la falaise Quand son grand

Je suis dev'nue la bonne Tout ce mal que j'me donne Pour faire partie des meubles. Jamais un bouquet de roses Comme quand j'etais ta chose, Pas l'amour

me saoule Avec du whisky Sachant qu'a la vue du sang J'suis aux abonnes absents, Je m'evanouis. J'ai trouve dans ma chaussure Un necessaire de coiffure, Le jour de Noel : Des

maudit canasson Renaissait de ses cendres, Je serais l'Alexandre Du debit de boisson. Mais si un autre equide Sort du cornet a des, Je rend mon tablier