Sous un pull bleu je t'envoyais, la tendresse de Bernard Daime, Tu trouvais que c'etait joli, tu n'y as jamais rien compris, Je t'envoyais des chansons
Elle voudrait avoir soixante ans, la fille qui vend des biscuits, A l'angle de la rue du temps, sur le marche du mercredi. Elle a tout juste dix-huit
tout essaye pour te plaire, les jeux, l'amour et la tendresse Contre ma nature en colere, je t'ai fait la cours a la francaise. Et ma derniere chance avec
Je vous regardais tendrement, J'aurais bien voulu vous parler, Mais le courage m'a manque. J'aurais voulu vous emmener, Faire quelques pas a mes
de nouvelles ivresses. Maintenant que tu es parti, vers d'autre part, d'autres pays, Il m'arrive au petit matin, de te rechanter ce refrain. Retour au refrain (3 1
monde s'ecrasent en cris d'amour. Et les petites filles aux coquilles de nacre Et ce gout de myrtille sous les kiosques du parc Un regard echange avec
rentrent a pied deux par deux. Adieu l'amour adieu la fete, la derniere tempete Souffle les lampions on reviendra a la guinguette Danser sur le musette et l'accordeon. Retour au refrain (1
Elle avait la couleur du ciel au fond des yeux, Et des brises d'ailleurs caressaient ses cheveux. Elle avait la richesse des secrets feminins, Elle
donc les femmes d'avant , celles qui nous laissaient le temps, De leur faire un moment la cour avant de leur faire l'amour. Retour au refrain (1
C'etait beau comme dans un tableau y'avait des c'rises et des jupons, C'etait comme du douanier Rousseau melange avec du Foulon Y'avait des chevaux
Elle a fini par se lasser, de cette vie , de ce metier. Des eternels aller-retour, entre le travail et l'amour. Puisqu'elle se tourne vers toi, essaie
Assis les mains en poches, sur une banquette de metro, Il est bientot cinq heures, il va commencer son boulot. Un vieil accordeon qu'il traine depuis
dit y a rien qui compte, on croit tous qu'on voit a Paris. Puis on s'retrouve au bout du monde , sans savoir qu'on etait parti. Retour au refrain ( 1
mis dans ma rue, Des couleurs d'arlequins. Les vieilles pierres pleurent, Sur la vie d'autrefois, Mon Italie se meurt , Une seconde fois. Retour au refrain (1
Parrain, je t'ecris cette lettre, moi le sauvage, moi le rebelle, Jani m'a dit que tu souhaites que je donne de mes nouvelles. Parrain, pour toi, j
Je suis bien arrive , dans cette ville grise, C'est bien pour oublier, l'eau sale de Venise, Il y a des amoureux , je ne les vois pas, J'ai de la
Ce soir, je dois me decider, a la faire danser, Quand le slow va commencer, je dois etre le premier Qui osera l'inviter, lui dira des mots tout bete
. Retour au refrain (1fois) C'est vrai je suis un etranger, on me l'a assez repete J'ai les cheveux couleur corbeau , mon nom a moi c'est Barzotti