Tekstovi: BB Brunes. Nico Teen Love.
Jure, on s'en fume une et, on vide le plancher de la station
Mais grilles les flics se pointent et controle d'identite
Oh nom de nom.
Je fais des ronds et je me marre, en pensant a ce vieux Ronsard
Et nous dans cent annees, en cendre.
Je fais un hic et je me marre, en pensant a ce con d'Icare
Et nos ailes brulees.
Prisonniers, menottes aux poignets
ca fait mal beaute, reve et gloire.
Mais n'avais-je pas vus arriver,
Les fourgons blindes, leurs gyrophares.
Je fais des ronds et je me marre en pensant a ce vieux Ronsard et nous dans cent annees, ensemble.
Je fais un hic et je me marre, dans peu de temps et pour de bon on se sera evades,
Et jamais plus il ne pourront nous retrouver.
Nos deux eperviers, en plein vol d'ete, se sont fait plumer, quel cauchemar.
Et moi je voyais, des larmes couler, sur tes joues eclairees par les phares.
Pieges, accroche toi poupee, passe moi le briquet et jamais plus il ne pourront nous retrouver.
Je fume, je finis par croire, que comme cette cigarette noire, je te nuis ma baute.
Mais poumons gris ou poumons noirs,
Qu'est-ce qu'on s'en fout puisque demain, c'est la fin de l'ete.
Car nicotine ou corbillard peu m'importe demain on sera des voleurs envoles.
Alors faisons des ronds et des Ronsard, de fumee blonde de fumee noire, et souris ma Bonnie,
Car jamais plus ils ne pourront nous retrouver.
(Merci a etoui, Salome Bozzarelli pour cettes corrections)
Mais grilles les flics se pointent et controle d'identite
Oh nom de nom.
Je fais des ronds et je me marre, en pensant a ce vieux Ronsard
Et nous dans cent annees, en cendre.
Je fais un hic et je me marre, en pensant a ce con d'Icare
Et nos ailes brulees.
Prisonniers, menottes aux poignets
ca fait mal beaute, reve et gloire.
Mais n'avais-je pas vus arriver,
Les fourgons blindes, leurs gyrophares.
Je fais des ronds et je me marre en pensant a ce vieux Ronsard et nous dans cent annees, ensemble.
Je fais un hic et je me marre, dans peu de temps et pour de bon on se sera evades,
Et jamais plus il ne pourront nous retrouver.
Nos deux eperviers, en plein vol d'ete, se sont fait plumer, quel cauchemar.
Et moi je voyais, des larmes couler, sur tes joues eclairees par les phares.
Pieges, accroche toi poupee, passe moi le briquet et jamais plus il ne pourront nous retrouver.
Je fume, je finis par croire, que comme cette cigarette noire, je te nuis ma baute.
Mais poumons gris ou poumons noirs,
Qu'est-ce qu'on s'en fout puisque demain, c'est la fin de l'ete.
Car nicotine ou corbillard peu m'importe demain on sera des voleurs envoles.
Alors faisons des ronds et des Ronsard, de fumee blonde de fumee noire, et souris ma Bonnie,
Car jamais plus ils ne pourront nous retrouver.
(Merci a etoui, Salome Bozzarelli pour cettes corrections)
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